Instaurons une tradition. Qui sait combien de temps cela durera... Tous les mardi, découvrez le portrait d’un copain. Peut être aurez vous envie de le connaître. Ou de ne jamais mettre les pied dans son secteur de vie. Aujourd’hui j’ai décidé de commencer par Ricou (on aime bien les pseudos chez nous).
Né le 17 juin 1977, Ricou vie paisiblement à Caudan dans le Morbihan. D’un naturel calme et placide, il peut lui arrivé de se fâcher (voir fiche ultérieure sur Super Long John).
Pendant longtemps, il a été martyrisé par ses amis ( !). Traité de crapaud buffle, moqué pour ses pantoufles ou encore poussé dans ses retranchements par de vicieux cocktail herbacés. De nos jours, Ricou est respecté de tous. C’est un fin guitariste, un brin musicologue et un ami fidèle. Comme quoi, ce saint un homme a su nous pardonner.
A moins biensure qu’il ait pris un certain plaisir à être mal traité. Notamment, et j’ai omis, de vous le préciser, Ricou est un peu roux. Ho, je ne ferais pas de racisme anti rouquins, mais avouez que les chemins de la plaisanterie sont, en la matière, impénétrables. Dieu nous pardonne.
N’ayez craintes braves gens ! Ricou a bien d’innombrables points commun avec Barbe Rousse au niveau du menton, cela ne l’empêche pas d’avoir un excellent feeling avec mon fils (dont il est le parrain). C’est vrai, il n’a que 8 mois et j’espère qu’en grandissant il ne ralliera pas la bande des gamins du quartier qui jettent des cailloux sur Ricou en criant « casse toi tu pues et marche à l’ombre ».
Surtout que ces éventuelles mauvaises odeurs ne proviennent pas de la glande du rouquin (si, si c’est génétique) que Ricou s’est fait retiré il y a des années de cela. Non, si, de temps en temps la petite bourgade de Caudan renifle une vielle odeur qui rappel les pires heures de la peste bubonique, c’est que Ricou rentre d’un triathlon. Le pic de pollution a couramment lieu lorsqu’il raccroche son vélo aux crochets de son garage grand ouvert en exposant entièrement ses aisselles. Car, oui, Ricou est un fracassé du sport. Du triathlon, il en fait de février à novembre.
Il consacre peu de temps aux traditionnelles cuites bretonnes pour « être en forme ». Sans se soucié de cette particularité de notre peuple : pour être en forme, le breton DOIT boire. Bref, en étant négligeant sur ses origines, Ricou souffre deux fois plus que les autres athlètes. Voir photo : il faut vraiment être maso nan ?
Conclusion, chaque instant passé avec notre grand ami Ricou est l’occasion d’une grande occasion. Et oui, qui sait où cette folie sportive peut l’emmener ? Loin ? Les habitants de Caudan (avec en tête les services techniques) seront heureux et l’immobilier du secteur pourra prendre 40 % en une semaine, certes. Mais nous, nous serons malheureux. Sans plus personne pour chanter lors de nous soirées. Plus de référents pour savoir ce qu’est le bien. Bref, nous serions complètement paumés sans notre ami.
1 commentaire:
Ricou on t aime !!! arrete de courir et reviens faire la fete avec nous ! return to the good side !
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