mardi 30 octobre 2007

Le pétrole et l'eau - Fable de Lafontaine

Le pétrole a le don de se faire remarquer,
Mais en terme de profit, l'eau sait être généreuse,
Voyez ce que l'eau sait arnaquer,
Voyez ce que l'ignorance est dangereuse.

UFC-Que choisir s’attaque au scandale de l’eau chère

Guillaume Evin - 29/10/2007 - L'Expansion.com

Pour l’association de défense des consommateurs, la surfacturation est monnaie courante en France. Bon nombre de syndicats des eaux s’octroient des marges de plus de 50%. Veolia et Suez sont stigmatisés pour leurs « bénéfices faramineux ».

Nouvelle croisade grand public pour l’UFC-Que Choisir : les tarifs prohibitifs de l’eau en France dans une vingtaine de sites. C’est même là sa deuxième vague sur le sujet après sa précédente de 2006 qui portait, elle, sur une dizaine de syndicat des eaux. Selon l’association de défense des consommateurs, les prix en vigueur dans les grandes agglomérations demeurent en effet « très abusifs ». Et ce parce que les opérateurs s’y octroient des marges colossales : presque 59% pour le Sedif, le syndicat des eaux d’Ile-de-France, 56% sur la presqu’île de Gennevilliers (système privé pour la distribution et en régie pour l’assainissement) ou encore 55% à Marseille où Veolia et Suez s’y partagent le marché. Ailleurs, les marges entre prix facturés et coût de revient sont moins indécentes mais restent conséquentes : elles oscillent entre 40 et 50% pour Lyon, Toulouse, Montpellier (toutes trois sous gestion privée) et Reims (gestion municipale), puis entre 30 et 40% à Bordeaux, Nice (toutes deux privatisées), Paris (système mixte) et Strasbourg (formule municipale) et enfin entre 25 et 30% à Angers, Nantes (gestion municipale), Lille et Nancy (privées). A cela, la FP2E, la fédération professionnelle du secteur, rétorque que le prix de l’eau en France est de 10% inférieur à la moyenne européenne et que le rapport moyen entre chiffre d’affaires et profits n’est que de 7%.

Dans cet océan de surfacturation émerge toutefois une poignée de cités vertueuses qui, selon l’UFC, pratiquent des marges comprises entre 10 et 15% : Chambéry, Clermont-Ferrand, Annecy ou Grenoble, toutes administrées en régie municipale. « En deçà de 20%, on est clairement dans une grille tarifaire raisonnable, souligne pour L’Expansion.com, Daniel Bideau, administrateur-trésorier de l’UFC et surtout responsable en interne du dossier de l’eau. Il n’y a pas de fatalité en la matière : les grandes agglomérations ne sont pas forcément les plus chères, à l’image de Grenoble. Seulement, bon nombre d’entre elles profitent de leur rente de situation : c’est-à-dire qu’elles peuvent se permettre d’afficher un prix de l’eau dans la moyenne nationale parce que leurs investissements (entretien, exploitation) sont minimes. En effet, la concentration d’habitants dans un espace relativement limité signifie moins de linéaires de tuyaux. Et donc moins de frais. Ce qui du coup leur garantit malgré tout des taux de marge nette démentiels ».

D’un point de vue industriel, deux groupes sont épinglés pour leurs « bénéfices faramineux » : Veolia Environnement et Suez. Soit les deux mastodontes du traitement de l’eau dans l’Hexagone. « Ils sont deux, ils sont seuls, note Daniel Bideau. Sans parler de Yalta de l’eau, on peut quand même affirmer qu’ils dominent outrageusement le marché national ». Pour contrer leur suprématie, l’UFC-Que Choisir préconise aux élus locaux de brandir la menace d’un retour en régie publique lors de la renégociation des contrats, et même de mettre celle-ci à exécution si les Veolia et autres Suez ne rognent pas sur leurs marges. Ce qui a priori devrait régénérer la concurrence. « Economiquement, c’est vrai, les collectivités n’ont pas directement intérêt à récupérer un dossier, dont elles se sont souvent délestées avec empressement dans les années quatre-vingt au terme de contrats parfois léonins. En revanche, politiquement, il est souhaitable de reprendre la main ne serait-ce que pour que le citoyen-consommateur ait une idée des prix justes. Ce qui n’est jamais négligeable à quelques mois des élections municipales… »

8 secondes

... rien à voir avec Ovomaltine.

C'est une chanson des Cowboys Fringants aux paroles, encore une fois, bien engagées. Les images... bon c'est ce que j'ai trouvé sur youtube.

mercredi 24 octobre 2007

Aux origines de la Tektonic



Comme ça, tu pourras dire aux "jeunes" qu'ils n'ont rien inventé !

mardi 23 octobre 2007

Le retour des méchants...





Les images d'un film jamais sorti en salle : la censure est encore présente dans notre pays. Son titre : Panique à Trémuson. Brrrr. C'est naze.

jeudi 18 octobre 2007

Ca fait froid dans le dos...

Révolution !?

Et pendant ce temps là, bla bla bla. Les gouvernements palabrent.

www.zero-deforestation.org

mardi 9 octobre 2007

Encore cette putain de danse



Mais là personne ne dira rien. Immense danseur. Ca me rappel Jay Kay.

Le meilleur du yaourt


Ce yaourt est très bon. Et moi je vous laisse ma crédibilité de mec rock'n'roll. Mhmmm les myrtilles !

www.les2vaches.com

Hi hi hi hi

lundi 8 octobre 2007

Aller, j'ai pas encore trente an



Non non, je ne vais me mettre à la tecktonic. Mais, je pense que nous avons enfin un vrai truc nouveau pour notre décennie. ??? Oui, ben moi je suis plutôt seventies aussi.

La Bretagne ça vous gagne



pour ceux et celles qui ne connaissaient pas encore Yelle. Et surtout parcqu'il est question d'un Teki orgasmique. Toute ressemblance doit certainement être fortuite.

vendredi 5 octobre 2007

Qui veut des miettes de nos cerveaux ?


Personne ?

Qui veut jouer avec nous ?


"Allons enfants de la patrie i eu..."

Notre emplacement pour All Blacks / Roumanie. Coupe du monde de rugby 2007. Le Stadium de Toulouse.

All Blacks


Heureusement pour la France, ceux ci ne jouerons pas demain...

Amour à Toulouse


Je serais toujours là pour révéler les ragots croustillants. Même ceux qui prennent corps loin de Bretagne.

Une discothèque toulousaine lors de la troisième mi-temps All Blacks / Roumanie.